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Formation SST : Sauveteur Secouriste du Travail

Nos équipes de formateurs sauveteurs professionnels et de moniteurs secouristes interviennent dans votre ville en région Occitanie et en PACA pour assurer vos Formations SST – Sauveteur Secouriste du Travail.
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Formulaire d'inscription
Étape 1 sur 3
Un certificat de Sauveteur Secouriste et une attestation de participation et de réussite seront délivrées lors de la réussite à ces épreuves.

Détail de la formation SST - Sauveteur secouriste du Travail

Objectifs de la formation SST

Les objectifs de la formation SST – Sauveteur Secouriste du Travail sont les suivants :

  • Protéger et prévenir un danger
  • Examiner une victime
  • Faire alerter et informer
  • Secourir une victime

Contenu de la formation SST

Situer le sauveteur secouriste du travail dans la santé et la sécurité au travail

  • Les principaux indicateurs de santé au travail
  • Le rôle du sauveteur secouriste du travail
  • Le cadre juridique du travail
  • Le plan d’intervention

Rechercher les risques persistants pour protéger

  • L’alerte aux populations
  • Analyser une situation d’alerte
  • Protéger face à une situation d’accident

De la protection à la prévention

  • Les dangers dans une situation de travail
  • Les principes de base en prévention

Examiner une victime pour alerter ou faire alerter

  • Examiner une ou plusieurs victimes
  • Alerter ou faire alerter

De faire alerter à informer

  • Informer face à un danger repéré

Secourir une victime d’accident

  • Secourir une victime qui saigne abondamment
  • Secourir une victime qui s’étouffe
  • Secourir une victime qui se plaint de sensations pénibles et/ou qui présente des signes anormaux
  • Secourir une victime qui se plaint de brûlures
  • Secourir une victime qui se plaint de plaies
  • Secourir une victime qui se plaint d’une douleur suite à un traumatisme
  • Secourir une victime qui ne répond pas mais qui respire
  • Secourir une victime qui ne répond pas et qui ne respire pas
  • Mettre en place et utiliser en toute sécurité un défibrillateur

Les risques spécifiques de l’entreprise et/ou de l’activité professionnelle

  • À définir avec le médecin du travail et/ou le responsable hygiène et sécurité

Modalités d’évaluations

  • Des évaluations formatives seront présentes tout au long du stage
  • La fin de la formation sera annoncée par les épreuves certificatives
  • 1ère épreuve certificative réalisée à partir de la mise en place d’une simulation d’accident de travail, suivie le cas échéant d’une analyse avec le formateur
  • 2ème épreuve certificative réalisée sous la forme d’un entretien entre le candidat et le formateur, ayant comme support la mise en situation de travail simulée précédemment.
  • Les stagiaires sont évalués par le biais de la grille certificative I.N.R.S
Informations pratiques

Les formations SST Sauveteur Secouriste du Travail sont organisées aux dates choisies par les clients

Volume horaire

14 heures

Public concerné

Tout membre du personnel

Ouvert aux personnes en situation de handicap

Prérequis

Néant

Pédagogie

  • Démonstration pratique
  • Apprentissage des gestes
  • Cas concrets professionnels

Profil du formateur

  • Formateur SST
  • Expérience dans le domaine enseigné
  • Capable d’adaptabilité aux différents profils de candidats

Suivi et évaluation

  • Fiche individuelle de suivi
  • Évaluation certificative lors des cas concrets
  • Fiche certificative SST

Document stagiaire

Fiche réflexes

Consignes particulières

Tenue pratique pour cas concrets

Nombre de personnes

4 à 10 personnes

Modalités d’inscription

Inscription via le formulaire d’inscription du site, par email ou par téléphone au 07 68 01 99 41

Vos questions › Nos réponses

Qu'est-ce que la formation SST ?

La formation SST, acronyme de Sauveteur Secouriste du Travail, constitue un volet essentiel de la prévention des risques professionnels au sein des entreprises françaises. Elle a pour objectif de former les salariés à réagir efficacement en cas d’accident sur leur lieu de travail et de leur transmettre les bons réflexes pour porter secours à une personne en danger tout en assurant leur propre sécurité. Cette formation repose sur un socle de compétences lié à la connaissance des gestes de premiers secours, mais également sur la capacité à repérer des situations à risque dans le cadre des activités professionnelles. Le SST n’est donc pas uniquement un secouriste ponctuel ; il est un acteur de la prévention au quotidien. Il peut, à ce titre, être sollicité pour participer à l’analyse des risques, à la mise en place de dispositifs de sécurité et à la remontée d’informations vers les responsables HSE ou la direction. La formation SST est dispensée par des organismes habilités, selon un référentiel défini par l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles), qui fixe les compétences attendues, les contenus pédagogiques et les conditions d’évaluation. Elle alterne des apports théoriques sur les conduites à tenir et de nombreux exercices pratiques permettant aux stagiaires de maîtriser les gestes techniques comme la mise en position latérale de sécurité, le massage cardiaque, l’utilisation d’un défibrillateur automatisé externe ou encore l’arrêt d’une hémorragie.

Cette question revient fréquemment au sein des entreprises, et la réponse dépend du contexte d’activité. Le Code du travail, via l’article R4224-15, prévoit que chaque lieu de travail où sont réalisées des activités dangereuses doit disposer d’au moins un salarié formé au secourisme. Cette obligation vise notamment les ateliers, les chantiers, les zones de stockage de produits chimiques ou les postes comportant des risques identifiés. En dehors de ces cas précis, la formation SST n’est pas imposée par la loi de façon systématique, mais elle est fortement recommandée par les organismes de prévention et les services de santé au travail. Elle entre dans une logique plus large de responsabilité sociétale de l’entreprise, soucieuse de protéger ses salariés et de réduire les conséquences humaines et financières des accidents. Certaines conventions collectives ou accords de branche peuvent également rendre cette formation obligatoire pour certaines professions ou secteurs spécifiques. C’est le cas dans le BTP, l’industrie, la logistique, mais aussi dans les métiers du spectacle, de l’animation ou de la restauration, où les risques de chute, de brûlure, de blessure ou de malaise sont réels. Dans la pratique, de nombreuses entreprises vont au-delà de leurs obligations strictes en intégrant la formation SST dans leurs plans de formation annuels, afin de déployer un réseau de secouristes internes suffisant pour couvrir l’ensemble des horaires et des locaux. Cette démarche proactive participe à la construction d’une culture de prévention partagée et responsabilisante, qui valorise l’engagement individuel au service du collectif.

La durée de la formation SST est définie par l’INRS afin d’assurer un équilibre entre apprentissage théorique, expérimentation pratique et évaluation des compétences. La formation initiale s’étale sur une durée minimale de 14 heures, réparties en deux jours consécutifs ou non. Cette durée permet de traiter l’ensemble des modules prévus au référentiel national, à savoir les conduites à tenir face à une situation d’accident, l’identification des dangers dans l’environnement de travail, la protection de la victime, l’alerte aux secours et les gestes d’urgence. Chaque stagiaire est mis en situation, observe, reproduit et corrige ses gestes avec l’aide d’un formateur certifié, qui veille au respect des protocoles et à l’acquisition progressive de l’autonomie. La validation de la formation donne lieu à la délivrance d’un certificat de Sauveteur Secouriste du Travail, valable pendant 24 mois. Passé ce délai, un recyclage est nécessaire pour maintenir la validité du certificat et actualiser les compétences. Le recyclage SST, d’une durée de 7 heures, permet de réviser les gestes, d’intégrer les évolutions réglementaires ou techniques, et de renforcer la réactivité des secouristes. Certaines entreprises choisissent de raccourcir cet intervalle de remise à niveau, en proposant des révisions annuelles, notamment dans les structures à forte rotation de personnel ou où les risques sont récurrents